L’expression couramment utilisée quand on se demande ce qui est venu en premier est : « l’œuf ou la poule? ». Concernant l’éjaculation précoce, on pourrait poser la question : «C’est le corps ou la tête » qui est responsable de l’éjaculation précoce? La réponse est intéressante.
Quand des hommes éjaculateurs précoces viennent consulter, presque tous disent : « je sais bien que c’est dans ma tête ». Car ils sont, pour la plupart, en bonne santé physique. Pour eux, la source du problème ne peut donc qu’être psychologique. Imaginez leur soulagement quand ils apprennent que ce problème est physiologique, (non organique) c’est-à-dire, qu’il est causé par les réactions physiologiques liées à leur excitation sexuelle, qui se répercutent dans leur corps et plus particulièrement dans leur zone génitale et qu’une longue thérapie ne sera pas nécessaire. De plus, lorsqu’ils prennent conscience de toutes leurs tensions musculaires associées à leurs postures et à leur manière de bouger lors des relations sexuelles, ils réalisent à quel point leurs réactions physiologiques sont en cause. C’est tellement vrai que lorsqu’ils changent leur manière de se positionner, de bouger et de respirer, ils solutionnent leur problème en peu de temps.
Agir sur la physiologie pour contrôler l’excitation sexuelle
J’ai reçu bien des hommes ayant déjà suivi une ou plusieurs thérapies pour tenter de régler ce problème, parfois même pendant près de deux ans, sans aucun changement. Bien sûr ils avaient fait des prises de conscience et amélioré d’autres domaines de leur vie, mais n’avaient fait aucun progrès quant à leur problème d’éjaculation précoce, d’où la raison de leur consultation. Rien de surprenant à cela si une thérapie ne tient pas compte des changements corporels à apporter pour parvenir à gérer l’excitation sexuelle.
La plupart des éjaculateurs précoce que j’ai traités ont appris à gérer leur excitation en un mois ou deux grâce à l’approche sexocorporelle. Pourquoi ? Parce que cette approche thérapeutique permet de régler le problème directement à sa source. Nous parlons donc ici des réactions physiologiques.
Le rôle de l’anxiété
Quand les hommes éjaculateurs précoces en viennent à vivre de l’angoisse à l’idée de faire l’amour avec leur partenaire, ce n’est pas relié aux problèmes de leur enfance ou autres. Mais plutôt aux réactions physiologiques qui se manifestent dans leur corps quand ils sont sexuellement excités et qu’ils ne savent pas comment contrôler cette excitation qui les mène rapidement à éjaculer sans qu’ils le veuillent. Ce qui a pour effet de faire naître du stress et de l’angoisse en eux, les rendant davantage stressés et d’autant plus éjaculateurs précoces.
Une démarche appropriée n’est pas nécessairement longue
Ne croyez pas qu’une thérapie qui s’éternise finira par régler votre problème d’éjaculation précoce. J’ai pour exemple un homme venu me consulter après 32 séances d’une sexothérapie de type « psy ». Il vivait de plus en plus d’angoisse parce qu’il risquait maintenant de perdre sa partenaire. Après seulement trois rencontres selon l’Approche sexocorporelle, il pouvait prolonger son excitation, avec grand plaisir, durant 20 minutes…
Alors, si vous vous posez la question concernant l’origine de l’Éjaculation Précoce en vous demandant « l’œuf ou la poule ? Le corps ou la tête ? » Vous connaissez maintenant la réponse et vous pourriez, vous aussi, grâce à l’Approche sexocorporelle, devenir un ex-éjaculateur précoce en peu de temps et de façon durable.
Une thérapie à votre portée
Vous pourriez, vous aussi, en finir avec l’Éjaculation précoce en vous procurant cette thérapie que j’ai mise en Vidéo afin de rejoindre tous les hommes qui souffrent d’éjaculation précoce de par le monde. Cette Vidéo est disponible sur mon site. Elle est disponible en version téléchargeable ou en DVD.
A la prochaine,
Nicole
votre sexologue
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